Bienvenue chez les cockers de Kerfeuil !
L'affixe de Kerfeuil a été créé au début des années 1960 et a vu naître certains des plus illustres setters anglais de France. 60 années de passion cynophile…
C'est un honneur et une fierté pour moi d'associer cet affixe au cocker et, je ne peux que remercier mon grand-père, Victor, décédé en octobre 2014, de m’avoir associée à ce nom. Mon objectif n'est pas de faire du nombre, de produire à tout va. Comme le disait Rabelais « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. » Ma volonté première est que les cockers de Kerfeuil soient le fruit d'un beau mariage et d'une sélection rigoureuse afin d'être digne de l'héritage qui m'a été légué. Des chiens dans le standard de leur race, en bonne santé et avec un caractère aimant.
C'est un honneur et une fierté pour moi d'associer cet affixe au cocker et, je ne peux que remercier mon grand-père, Victor, décédé en octobre 2014, de m’avoir associée à ce nom. Mon objectif n'est pas de faire du nombre, de produire à tout va. Comme le disait Rabelais « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. » Ma volonté première est que les cockers de Kerfeuil soient le fruit d'un beau mariage et d'une sélection rigoureuse afin d'être digne de l'héritage qui m'a été légué. Des chiens dans le standard de leur race, en bonne santé et avec un caractère aimant.
Pourquoi le cocker anglais ?
Lorsque j’étais enfant, aussi loin que je m'en souvienne, il y a toujours eu un cocker à la maison. Ma mère était passionnée par ce chien magnifique. Sa disparition prématurée ne lui a pas laissé le temps de se lancer dans l’élevage. Le setter anglais est alors devenu mon unique référence. Je suivais mon grand-père dans toutes les expositions. J'étais de tous les voyages en Italie pour aller chercher l'étalon exceptionnel. J'ai eu la chance de posséder plusieurs setters nés chez mon grand-père, jusqu'au jour où j'ai craqué, dans les années 2000, pour les yeux d'une petite puce nommée Engie de type cocker car non LOF. Nous avons perdu Engie de manière prématurée. Il nous a fallu du temps, presque un an avant que Nala (née Gina du domaine de Cogneuf) n'arrive à la maison.
En étudiant de plus près son pédigrée, je me suis dit qu’elle était celle que j'attendais pour réellement me lancer dans l' aventure de l’élevage. Certes , elle était un petit modèle, confirmé avec un très bon à Campbon (pour la dernière édition) mais elle possédait un caractère en or massif et une expression très cocker. Si elle pouvait transmettre son extrême gentillesse à ses petits, doublée de ses bonnes origines, le pari sur l'avenir était déjà gagné pour moi…L’eau a coulé sous les ponts depuis la première portée de Nala…elle a rejoint le pont de l’arc-en-ciel en 2017, emportée par un cancer fulgurant mais elle continue de vivre dans ses descendants à la maison.
En étudiant de plus près son pédigrée, je me suis dit qu’elle était celle que j'attendais pour réellement me lancer dans l' aventure de l’élevage. Certes , elle était un petit modèle, confirmé avec un très bon à Campbon (pour la dernière édition) mais elle possédait un caractère en or massif et une expression très cocker. Si elle pouvait transmettre son extrême gentillesse à ses petits, doublée de ses bonnes origines, le pari sur l'avenir était déjà gagné pour moi…L’eau a coulé sous les ponts depuis la première portée de Nala…elle a rejoint le pont de l’arc-en-ciel en 2017, emportée par un cancer fulgurant mais elle continue de vivre dans ses descendants à la maison.
Mes remerciements vont d’abord à mon mari que je mets souvent à contribution pour m’aider avec les loulous…Il n’a pas eu la chance de tomber dedans quand il était petit mais il aime nos chiens autant que moi. Merci également à tous mes amis de la cynophilie. Ils sont souvent peu nombreux dans ce monde. Merci enfin à toutes les familles qui m’ont fait confiance. Merci à mon grand-père de m’avoir offert un nom et tellement plus encore…